Lors de la transmission d’actions, une fiscalité différente est applicable au cédant (celui qui vend) et au cessionnaire (celui qui achète). Le premier doit s’acquitter de l’impôt sur la plus-value que la cession lui a permis de réaliser alors que le second est imposé au titre des droits d’enregistrement.
Les droits d'enregistrement dus lors de l'acquisition d'actions
Cette déclaration donne lieu au paiement, par le cessionnaire, de droits d’enregistrement.
Leur tarif est de 0,1% en ce qui concerne les cessions d’actions.
Contrairement au régime en vigueur pour les parts sociales, aucun abattement n’est ici applicable.
La plus-value imposée lors de la cession d'actions
De son côté, au moment de la cession, le cédant est imposé sur la plus-value réalisée du fait de la cession.
L’imposition de cette plus-value va varier selon la qualité du cédant et l’activité de la société.
Ces plus-values relèvent :
- Du régime des plus-values professionnelles si elles sont réalisées par une entreprise ou une société passible de l’impôt sur les sociétés, ou encore par un actionnaire exerçant son activité professionnelle au sein de la société dont les titres sont cédés.
- Du régime des plus-values de cession de valeurs mobilières dans les autres cas.
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